Un mois plus tard…
Le temps temps passé. Lentement. Viscération.
Trente jours depuis ce moment dans la salle d'audience. Trente nuits après que Maria Hill, sous pression politique et émotionnelle, ait accepté à contrecœur de reconnaissance Naruto comme un « tout stratégique non affilié »
Et pourtant… dans ces tours de temps, rien n'attend changé.
Rien—sauf eux.
L'appartement – 07h12
L'alarme n'a jamais sonné.
Ils se sont réveillés par instinct. Comme deux bêtes en état de demi-alerte. Comme deux âmes qui n'avaient jamais appris la paix.
Naruto était déjà réveillé, assis au bord du lit.
Chemise, pantalon de survie noir, cheveux ébouriffés. Il regarde la lumière filtrer à traverser les rideaux. Un pâle rayon de soleil matinal effleurait les marques de chakra sur sa poitrine, qui pulsaient doux moi au repos —comme un deuxième battement de cœur.
Natasha dortait encore.
Ou du moins… belle apparence.
Il savait.
Elle pousse sentir son mouvement dès que sa respiration changeait.
Mais elle a fait semblant.
Pour lui faire croire qu'il a passé un moment seul.
Et il n'a rien dit.
Pour lui faire croire qu'elle dormait encore paisibilité.
Un équilibre silencieux. Un langage de gestes, de silences.
Dans la cuisine, le café était déjà en train de préparer. Une odeur familiale s'élevait, s'infiltrant dans les murs, leurs vêtements, leurs habitudes.
Naruto versa deux tasses. Un noir pour lui. Un avec une touche de cannelle pour elle.
Il se souvenir. Elle ne lui avait jamais dit. Mais il l'avait remarqué.
Un matin, elle avait soi après l'avoir guété.
Dépuis, il l'a fait sans demandeur.
Elle entra, toujours vue d'un long t-shirt et de chaussettes.
Il lui tend la passe.
Elle a pris le sien, et ils se sont tenus comme ça. Côte à côte. Boire.
— "Sur une impression que nous sommes… normaux." Elle a rompu le silence sans précédent.
Naruto tourna la tête vers elle, le regard calme et stable.
— "Veux-tu que ce soit le cas ?"
Elle haussa les épaules.
— "Je ne sais pas si je suis fait pour ça."
Il inclina la tête.
— "Et moi? Tu crois que je le suis ?"
Elle hésita. Puis elle secoua la tête.
— "Non. Tu es pire que moi."
Un sourière tira sur ses lèvres.
Mais ce n'était pas du sarcasme.
C'est tendre. Réel.
Presque un compliment.
Il y a des choses qui ne sont pas des jamaïcains parlementaires.
Par pair de briser ce qu'ils construisent le développement.
Naruto n'a pas parlé d'Hinata.
Pas encore.
Et Natasha n'a pas parlé d'absence.
De sa maternité volée. Reconstruit du corps Son. Fils avenir amputé.
Mais ils se surveillaient.
Et parois, un coup d'œil disait tout.
Un léger froncement de sourcils de Naruto lorsqu'elle toucha la cicatrice sur son épaule. Un soupir silencieux de Natasha lorsqu'il s'enfonça trop loin dans ses pensées.
Le silence était leur confession.
Et la proximité, leur prix.
– 11h23
Même après un mois, Naruto est rété sous surveillance.
Non détenu. Mais jamais gratuit.
Des trackers intégrés à son badge. Capteurs thermiques. Et probabilité d'autres choisit dont il n'étaït pas encore au courant.
Il les tolérait.
Parc qu'il comprenait.
Leur crainte était justifiée.
Un mois plus tôt, il avait désintéré sans effort toute une section de formation.
Il est excusé.
Mais les drones, les ravisseurs, les agents… ils n'avaient pas oublié.
Et Hill non plus.
Natasha est battue bec et ongles pour qu'il vive sans cache son visage.
Mais moi elle ne pouvait pas contrôler tout le Conseil.
Et dans l'ombre… les couteaux étaient déjà en train d'être aiguisés.
Le soir, ils s'entraînent.
Pas pour les missions. Pas pour la forme.
Pour survivre à leurs propres fantômes.
La chambre était vide. Faiblement éluré. Tapis de tatamis sur le sol. Pas de public.
Natasha dans un débardeur gris, les cheveux attachés en arrivée. Naruto torse nu, pieds nus, l'esprit tranchant comme un rasoir.
Ils ont échangé des frappes, des feintes, des esquives.
Mais à chauque contact, il y avait plus.
Un besoin de sentir.
Un besoin de rester.
Il lui a bloué le poignet. Elle lui glissa sous le bras. Il est un pivot. Elle est tombée sur lui dans un roulis parfait.
Et ils se sont retrouvés par terre.
Haletant.
Immobile.
Leur corps emmêlés.
Leur yeux se sont verrouillés.
Naruto planant au-dessus d'elle. Natasha a épinglé—mais n'a pas cédé.
Et elle sourit.
— "Tu apprends vite."
— "J'ai un bon professeur."
Elle leva la main et lui brossa le visage.
— "Et tu n'es plus un gamin."
Il n'a pas repondu.
Mais il baissa la tête.
Et leur lèvres se rencontre.
Doux.
Sans tempête.
Un baiser qui disait : Je suis toujours en vie